La Fête religieuse de la TOUSSAINT
31 Octobre Halloween
1er Novembre la Toussaint
2 Novembre Fête des Morts
Chapitre 1
Nous approchons bientôt de la fête chrétienne de la Toussaint, suivi le 2 Novembre de la fête des morts. Voilà une fête qui indirectement fait l’adoration, la vénération, la glorification, du Roi de ce monde, je parle de SAMMAËL, celui que vous considérez comme le « Prince du « Mal ». »
« Toussaint » jour d’abomination pour EL-SHADDAÏ, jour d’iniquité ou les humains vont prier des statues de pierre, de bois, de fer, représentant hommes et femmes disparus.
La « Toussaint » la plus grande fête de l’idolâtrie !
Alors vous mes semblables évitez ce jour d’entrer dans vos Temples où l’idolâtrie règne en maître et ne suivez pas ce guide imposteur, votre Curé, Abbé, Évêque, ce dernier allant officier dans un Temple de luxe comme la cathédrale.
Le lendemain vous chrétiens vous devez fêter vos morts. Le plus grand jour de l’hypocrisie pour EL-SHADDAÏ, car les humains hypocritement vont aller nettoyer la tombe de leur disparu et qui restera en friche tout le restant de l’année.
Quel jour de l’hypocrisie !
Laissez vos morts en paix, ils ne sont que poussière et si vous allez sur la tombe du souvenir choisissez un autre jour, une autre semaine, un autre mois, car la plus belle tombe et celle du cœur, personne ne le voit, personne ne le sait, sauf celui qui nous a offert le « Souffle de Vie ».
Les Celtes vécurent il y a trois mille ans dans ce qu’on appelait à l’époque, l’Irlande, l’Angleterre, la petite Bretagne, la Gaule, une partie de l’Europe Central, jusqu’en Asie Mineure en Galatie. Les Celtes étaient des adorateurs païens de la nature qui avaient un grand nombre de dieux, incluant le soleil qui, croyaient-ils, réglementait leur travail et leurs périodes de repos. Ils croyaient qu’ils entretenaient la Terre en conservaient la beauté et faisaient croître leurs récoltes.
L’immortalité de l’âme était une des croyances des anciens Celtes, ce qui explique peut-être les témoignages sur leur vaillance et leur intrépidité au combat, puisque la peur de la mort était absente.
Les Celtes célébraient leur nouvelle année, le 1er Novembre, qui marquait la fin de la récolte et de l’été, la saison du soleil, et du début de l’hiver, froid et sombre.
Du 31 octobre jusqu’au 2 novembre, les Celtes célébraient un festival d’une durée de quarante-huit heures, la vigile de Samhain, on prononce, « Sô-Inne ». Ils croyaient que Samhain, le dieu païen des morts, rassemblait les âmes de ceux qui étaient morts pendant la dernière année et décidait quelle forme ils prendraient l’année suivante. Ces âmes pouvaient aussi bien avoir un corps humain, ou être condamnées à vivre dans la peau des animaux, les âmes ou les esprits les plus méchants prenant la forme de chats. En espérant tromper Samhain et lui faire donner des sentences plus légères, les adorateurs Celtes essayaient de le soudoyer en offrant des prières et des cadeaux.

L’Encyclopédie Britannique dit ce qui suit : « Samhain, fin de l’été celte, une des fêtes du calendrier les plus importantes et les plus sinistres de l’année celte. Lors de Samhain, célébrée le 1er novembre, on croyait que le monde des dieux était rendu visible aux yeux de l’humanité et que ces dieux jouaient des tours à leurs adorateurs humains. Il s’agissait d’un temps plein de danger, rempli de frayeur et d’événements surnaturels. La période était remplie d’offrandes et de sacrifices de toutes sortes. On les croyait essentiels, car sans eux, les Celtes pensaient qu’ils ne pourraient surmonter les périls de la saison et résister aux actions des dieux. » Samhain fut un important précurseur de l’Halloween.
La nuit du 31 octobre, la veille du Nouvel An, les Celtes, après avoir emmagasiné les récoltes et les avoir engrangées en prévision de l’hiver, commençaient leur fête. D’abord, ils éteignaient les feux de cuisine dans leur maison. Puis les Druides, les prêtres Celtes, se rencontraient au sommet des collines dans les profondes forêts de chênes, ils considéraient les chênes comme sacrés, et préparaient d’énormes feux sacrés afin d’effrayer les mauvais esprits et honorer leur « Dieu Soleil ». Ensuite, les gens brûlaient de leur récolte et de leurs animaux en sacrifice à leurs dieux tout en dansant autour alors que la « saison du soleil » les quittait et que la « saison de la noirceur » faisait son apparition. Les Celtes portaient des costumes faits de peaux et de têtes d’animaux, et se prédisaient l’avenir. Le matin suivant, ils rallumaient leurs feux de cuisine à partir des feux sacrés pour se dégager des esprits méchants et être protégés pendant la saison hivernale.
Pendant le premier siècle avant et après l’EC., l’Empire romain envahit l’Irlande et les îles Britanniques, conquérant ainsi la majorité du territoire Celte. Les Romains dominèrent sur eux pendant des centaines d’années, influençant les coutumes et traditions Celtes et Anglo-Saxonnes. Pendant cette période, il y eut deux festivals romains qui se fusionnèrent au festival celte de Samhain — Feralia et Pomona. Il y a plusieurs villes américaines qui portent le nom païen de Pomona, endossant ainsi sans le savoir ce jour.
Feralia, qui était célébré le 21 février, était le jour romain destiné à honorer les morts, mais n’était en fait qu’un jour de beuverie et d’orgies populaires, un peu semblable aux autres fêtes romaines.
Le jour de Pomona, célébré le 1er novembre, l’était en l’honneur de Pomona, la déesse romaine des fruits, des arbres et de la fertilité. Son symbole sacré était la pomme.
Pendant les trois siècles suivants, les coutumes de Samhain se mélangèrent avec celles de Pomona et de Feralia. C’est-à-dire jusqu’à ce qu’ils fussent « blanchis » et « lavés » par un autre pouvoir religieux.
Pendant ce temps en Palestine un homme du nom de Jésus le Nazôréen, Nazaréen, de Nazareth, faisait parler beaucoup de lui et était réputé pour être un grand Prophète dont l’enseignement se résumait en cette phrase : « Aimez votre prochain comme vous vous aimez ! Ne fait pas à ton prochain ce que tu n’aimerais pas qu’on te fasse ou encore ne parle pas de la paille qui est dans l’œil de ton prochain quand tu ne vois pas la poutre qui est dans le tien »
De cet homme naîtra, quelques siècles après sa mort, une religion le « Christianisme. »
Le « Christianisme » étant devenu officiellement religion d’État en 381 au Concile de Constantinople sous l’Empereur Romain Théodose 1er --- 347-395 --- l’Église grecque décide de fêter les « Saints », tous les chrétiens martyrs, mort pour leur foi en les déclarants « Saints », après les Apôtres et les premiers Disciples de Disciples.
Nous sommes à la fin du IVème siècle.
Cette fête de la « Toussaint » a longtemps eu lieu après les Pâques ou suite à la Pentecôte. Au Vème siècle, elle est célébrée en Syrie le vendredi de Pâques. A Rome, une fête en l'honneur des saints et martyrs était célébrée le dimanche après la Pentecôte.
Revenons à des faits authentiques, confirmés par les historiens !
Voici d'abord l'histoire de la consécration du Panthéon Temple des « Dieux » romains
Les Romains devenus maîtres de tout le Bassin Méditerranéen, de l’Europe Occidental et d’une partie de l’Asie, avaient construit un Temple énorme dans Rome, au milieu duquel ils avaient placé leur idole Mithra, Dieu de la lumière, et tout à l'entour étaient les idoles de toutes les provinces conquises la face tournée vers l'idole des Romains dont la naissance était fêtée le 25 décembre.
Mais bientôt ce Temple ne suffit plus aux Romains, qui construisirent pour chaque Dieu un Temple particulier. Comme tous les Dieux ne pouvaient pas avoir un Temple à eux dans la ville, les Romains, pour mieux étaler leur foi, construisirent en l'honneur de tous les Dieux un Temple plus admirable encore que tous les autres, qu’ils nommèrent « Panthéon ».
Pour tromper le peuple, les prêtres des petits temples contèrent que la déesse Cybèle, qui était la mère de tous les dieux, leur était apparue. Cette déesse leur aurait dit que, si Rome voulait remporter la victoire sur toutes les nations, on eût à élever, à tous les dieux, ses fils, un Temple magnifique. Ce Temple fut donc construit sur une base circulaire, pour symboliser l'éternité des dieux.
Le Panthéon de Rome fut un édifice religieux antique situé sur le Champ de Mars, construit en -27 de J-C. au début du règne d’Auguste ( -63-+14 de J-C.) sur l'ordre d'Agrippa. Endommagé par plusieurs incendies, le Temple fut entièrement reconstruit en 123-125 d’ EC sous Hadrien. Le plan du nouvel édifice est exceptionnel, sans précédent dans l’architecture romaine.
La Toussaint est une fête, en l'honneur de tous les Saints Catholiques qui sont dans l’ancien Panthéon de Rome, et non une fête chrétienne généralisée, le protestantisme rejetant tout ce qui ressemble à un « Saint ».
Aujourd’hui, cette fête religieuse de la « Toussaint », respectée par les chrétiens catholiques, a été fixée arbitrairement au premier novembre pour honorer tous les saints, connus et inconnus.
Quant à l’Église orientale, c’est-à-dire la chrétienté orthodoxe, cette fête de la commémoration de tous les saints est fixée le premier dimanche après la Pentecôte.
Pour trouver une vérité, il faut impérativement se transporter par l’esprit à l’ère de ce que nous lisons.
Jésus le Nazaréen est décédé, ainsi que les Apôtres et Disciples de la première heure. Polycarpe de Smyrne était un disciple de l’Apôtre Jean dans sa jeunesse car né en l’an 69.
Ignace d’Antioche est né en l’an 35 et il a eu la chance d’être le disciple de l’Apôtre Pierre qui était évêque de cette ville, puis disciple de l’Apôtre Jean.
Évode qui remplacera l’Apôtre Pierre à Antioche fait partie des soixante-douze Disciples de Jésus le Nazôréen qui assistèrent les douze dans leurs travaux apostoliques. Cet homme est cité dans une épitre de Paul – Phil. 4 : 21 –
Le mot « évêque » est la transcription française du mot latin episcopus, lui-même adapté du grec episkopos qui veut dire « surveillant », c'est-à-dire modérateur, tuteur, responsable d'une organisation.
Avant le christianisme, le terme « évêque » était utilisé pour désigner toutes sortes d'administrateurs dans les domaines civils, financiers, militaires, judiciaires.
Le terme « Évêque » à son origine désignait dans la Secte des Nazôréens, Nazaréniens, Nazaréens, de Jésus de Nazareth, de Jésus le Nazaréen, un « surveillant » un « presbytre » un « parangon » un « enseignant ».
L’évêque était le « Pasteur », celui qui prenait attention à son troupeau et qui agrandissait celui-ci.
Le terme « Évêque » veut bien dire ce qu’il veut dire !
Mais je reviendrais sur ces noms « Pompeux du Christianisme »
Le premier siècle est terminé, le second commence. Beaucoup sont mort dans les persécutions. En effet cette « Secte de Jésus » dérangeait les politiques, mais surtout les « Grand Prêtre » des Temples païen qui voyaient un certains nombres de leurs fidèles déserter les lieux Saints, et la manne sonnante diminuait.
Dès le Ier siècle, les Évêques de Rome, antérieur à l’Apôtre Pierre et au Disciple Saül de Tarse et leurs successeurs croient pouvoir en plusieurs circonstances imposer leur point de vue dans des conflits de quelques importances. Le premier conflit fut celui d’Antioche en l’an 52 et c’est à Jérusalem que le problème fut réglé et non Rome, donc l’Encyclopédie chrétienne Universalis, n’est que mensonges tout comme l’Apôtre Pierre premier Évêque de Rome, le quatrième ou cinquième voir même plus. Donc l’Évêché principal de Rome a ses premières fondations sur le mensonge.
Tous les humains que je viens de vous écrire ci-dessus seront déclaré « SAINT », et feront partie de ce que la chrétienté nomme : en premier les « Pères Apostoliques » puis les « Pères de l’Église »
Tous ces humains sont décédés soit en martyres, soit de mort naturel dû à la vieillesse ou à la maladie.
La secte de « Jésus de Nazareth » ou plus couramment des « Nazôréens, Nazaréniens, Nazaréens » que l’on nommera christianisme se détériore. En effet des humains se sont aperçut que l’on pouvait devenir important et riche. On commence à établir une hiérarchie pyramidale. Il y aura conflit entre le titre Évêque et Presbytre et le premier l’emportera. L’Évêque devient important, ce n’est plus un « pasteur », c’est un « Noble » un « Roi »
La base des croyants se rattachent à des souvenirs, alors ils vont à la quête des reliques, ossements, vêtements, objets, etc ..., des Apôtres et Disciples de la première heure et commencent à les vénérer

Nous sommes maintenant à la fin du IIème siècle. Tous ceux qui ont connu les premiers Nazôréens, les disciples des Disciples de Jésus, sont tous décédés ou à un âge avancé. Les enseignements de Jésus de Nazareth sont bien loin. L’enseignement des humains commence à faire office de paroles sacrées.
La fête de la « Toussaint » n’existe pas encore.
La suite la semaine prochaine sur la Toussaint ou dans quelques jours en attendant pensez et priez ce Dieu seul et unique que je nomme EL-SHADDAÏ comme Abraham.
Portez-vous bien !
Prenez soins de vous et de votre famille, de vos amis !
Salutations cordiales à tous !
Sig : J-P. G. dit « GRANDELOUPO »
Commentaires
Bonjour Article intéressant
L article peut il être coupé pour lire en plusieurs
fois Merci à vous Bonne soirée en ce dimanche