La Fête religieuse de la
TOUSSAINT
31 Octobre Halloween
1er Novembre la Toussaint
2 Novembre Fête des Morts
Suite et Fin : Chapitre 2
L’évêque des prémices, c’est-à-dire l’enseignant, le gardien, le surveillant du « troupeau » n’est plus, maintenant c’est l’ÉVÊQUE, le Chef, le Noble, le Roi, celui qui s’enrichie avec l’argent des pauvres. Le « Diacre » n’est plus le serviteur de ses semblables, c’est le serviteur de l’Évêque.
On parle maintenant de l’Évêque de Rome, Jérusalem, Éphèse, Constantinople, Laodicée, Antioche, Corinthe, etc., le Pape n’existe pas.

Fatigué de réprimander les Romains pour leurs réjouissances bien arrosées soi-disant pour honorer les morts et leur spectre, et souhaitant plus de convertis, l’Évêque de Rome Boniface IV en 609 apr. J.-C., déclara que Feralia ainsi que Lémuria serait une fête chrétienne. Au lieu d’honorer tous les morts, et des spectres, ils devaient maintenant honorer seulement les « Saints » décédés. Au lieu des réjouissances et de l’alcool, ce serait maintenant un jour de prières et de méditation. Au lieu de l’appeler Feralia et Lémuria, il changea le nom en « Toussaint ». Puis il changea le jour de sa célébration du 21 février au 13 mai. Boniface IV consacra, le 13 mai 610, le Panthéon de Rome à la Sainte Vierge et à tous les martyrs, date anniversaire de la dédicace de cette église. (Encyclopédie catholique).
Début du VIIème siècle la primauté de l’Évêque de Rome a été reconnu par l’Église Orthodoxe d’Orient dont l’évêché est à Constantinople, mais on parle toujours des byzantins.
Les successeurs de Boniface IV se suivent et l’Église continue à se détériorer.
VIIIème siècle. Les factions chrétiennes se font la guerre spirituelle entre l’Orient et l’Occident. Les Évêques font leur loi dans leur territoire et les dogmes naissent à la vitesse des jours. L’évêché de Rome, dû sans doute à sa position impériale, dicte ses Lois sur les autres évêchés. L’Évêque de Rome Grégoire II en 727 condamne l’iconoclaste – c’est l’adoration des images et reliques des « saints » --
Son successeur, Grégoire III préside un Concile au Vatican où 193 évêques participent. Ils condamnent l'attitude de l'empereur à l'égard des icônes et des images qu'il ordonne de détruire. L'une des plus importantes résolutions du Concile consiste à excommunier ceux qui défigurent l'icône du Christ, de la Vierge Marie, des Apôtres et des Saints.
Si cela n’est pas de l’hypocrisie, qu’est-ce-que c’est ! Deux poids deux mesures !
La chrétienté primitive a disparue. Le terme « église » qui signifiait « Assemblée » ait remplacé par « L’ÉGLISE » puis par « Église de ROME ».
Suite à une guerre contre les Lombards et Ravenne, ceux-ci ayant été vaincu par Pépin le Bref en 752, Roi des Francs, leur territoire fut offert à l’Évêque de Rome, Étienne II, qui prit le titre de « Pontife » c’est à dire « PAPE » et tous ces territoires furent nommés « États Pontificaux ».
Le premier « PAPE » réel de l’histoire des « papes » venait de naître. De plus l’ÉGLISE devenait officiellement « ÉTAT » dont le
siège était à Rome. L’évêché de Rome portera le nom de « Saint Siège »
Maintenant je peux l’écrire, le Pape Grégoire IV en 830, ordonne que la fête de la Toussaint soit célébrée dans le monde entier.
L’église catholique de Rome avait fait du « Panthéon » une église dédiée à Sainte-Marie des Martyrs. Ainsi, au culte des divinités romaines se substitue le culte des divinités « Saints Catholiques ». La célébration de cette « Église » était un 13 mai.
En 835, Grégoire IV déplaça cette date anniversaire du 13 mai, au 1er Novembre pour des raisons pratiques afin que les fidèles fussent plus nombreux à cette commémoration. En effet les vendanges et les moissons étant terminées, les pèlerins pouvaient plus facilement se déplacer et se nourrir.
Alors ce jour fut la date anniversaire de la consécration de cette église, mais aussi de tous les « Saints » qui étaient à l’intérieur de celle-ci.
Aujourd’hui cette célébration groupe non seulement tous les Saints canonisés, c’est-à-dire ceux dont l’Église assure, en engageant son autorité, qu’ils sont dans « la Gloire de Dieu », mais aussi tous ceux qui, en fait et les plus nombreux, sont dans la béatitude divine.
Ainsi ce temple qui avait été construit pour toutes les idoles, se trouve aujourd'hui consacré à tous les « Saints » statues de pierre représentant homme ou femme ayant vécu sur la Terre, donc c’est de « l’Idolâtrie » dans sa représentation la plus réelle et flagrante, alors ? .
Pendant ce temps, les Celtes continuaient à observer la fête de leur Dieu Samhain le 1er Novembre sous une forme ou une autre. L’Église catholique s’en aperçut, et le pape Grégoire IV ordonne que cette fête, la Toussaint, soit célébrée dans le monde entier. Pour certains, c’est à l’occasion de cette décision, prise en 835, que la fête de la Toussaint est fixée au 1er Novembre. Sur le conseil de Grégoire IV, l’empereur Louis le Pieux institua la fête de tous les saints sur tout le territoire de l’empire Carolingien dont la majorité était de culture religieuse Celte.
Le jour prit le nom « du Jour de tous les Saints », soit la « TOUSSAINT »
Voilà comment une fête païenne Celte du 1er Novembre devint une solennité chrétienne dans tout l’Empire Romain et Carolingien.
Le lendemain 2 Novembre, c’est la Fêtes des Morts, normalement c’est ce jour-là que les vivants se souviennent de leurs défunts, et vont nettoyer et fleurir les tombes et caveaux. La religion chrétienne par une Légende inventa le « Purgatoire ». Ce lieu le « Purgatoire » serait un endroit Céleste où notre double, notre clone invisible à l’œil humain irait ce purifier avant de passer devant le « Grand Tribunal Céleste » où toutes nos actions terrestres seront jugées.
En premier, la basilique de Saint Pierre de Rome n’existe pas sous le Pape Grégoire IV. En effet la construction de cette basilique commença le 18 avril 1506 et fut achevée en l’an 1626.
De plus le mot « Purgatoire » était inconnu sous Grégoire IV. Il faut attendre le XIème siècle, car l’un des tous premiers documents à mentionner ce nom est une lettre du bénédictin Nicolas de Saint-Alban au cistercien Pierre de Celle en 1176. Puis ce mot « Purgatoire » apparaît au XIVème siècle dans la lettre du pape Clément VI à Mékhithar d’Arménie, en date du 29 septembre 1351 qui dit :
« Nous demandons si tu as cru et si tu crois qu’il existe un purgatoire vers lequel descendent les âmes de ceux qui meurent en état de grâce et qui n’ont pas encore satisfait pour leurs péchés par une entière pénitence. »
Je viens d’écrire sur ce jour de la « Toussaint », mais le lendemain 2 Novembre est le « Jour des Morts » nommé d’un nom pompeux par la chrétienté : « Commémorations des Fidèles Défunts »
Ce jour de commémorations des morts est une fête païenne qui remonte depuis le Déluge et est célébré, même aujourd’hui, sur la Terre entière et par tous les peuples.
Ce rituel païen a un rapport avec les mythologies de tous les peuples anciens, elles-mêmes reliées aux événements du Déluge. Cet événement est célébré non seulement par des peuples plus ou moins liés entre eux, mais par d'autres qui sont séparés par un océan et par les siècles. Toutes ces nations célèbrent cette fête le jour même où, selon le récit de Moïse, le déluge commença, à savoir le 17e jour du second mois, période qui correspond au début de notre mois de novembre. Genèse VII : 11
« En l'an six cent de la vie de Noé, le second mois, le dix-septième jour du mois, ce jour-là jaillirent toutes les sources du grand abîme et les écluses du ciel s'ouvrirent. »
Cette fête, célébrée par les païens qui rejetaient EL-SHADDAÏ, Dieu pour la chrétienté, débutait par une cérémonie honorant la mémoire des âmes qu’El-Shaddaï détruisit aux jours de Noé en raison de leur méchanceté.
La fête chrétienne a succédé à des rites païens plus anciens dont le plus célèbre est Samain, une fête celtique célébrée à la même époque de l'année et qui disparut avec la religion druidique si l’on veut, car remplacé par ce que nous nommons aujourd’hui « Halloween ». Ce rituel païen fut graduellement remplacé par les rituels de l'Église. Les fêtes se déroulaient uniquement dans des emplacements prévus à cet effet comme à Paris sur le Parvis de Notre-Dame et au Champ de Mars.
Comme écrit ci-dessus pour l'Église catholique romaine, le 2 novembre correspond à la Commémoration des Fidèles Défunts, célébration des morts par des messes, en particulier pour les défunts de l'année écoulée. La messe a une valeur de purification des péchés véniels pour atteindre la vision béatifique. Ce jour est traditionnellement consacré à une visite familiale au cimetière et à l'entretien des tombes.
L'office des morts prend son origine dans la veillée des morts que les premiers chrétiens faisaient à l'exemple des juifs.
Tout doucement, sournoisement, la pureté des premiers offices des Nazaréens ce détériore avec la nouvelle appellation de ce mouvement qui prend le nom de « Chrétiens » et les humains déclarent que ce jour est institué pour obtenir de Dieu qu'il délivre ou soulage les âmes du Purgatoire. Des prières, et ensuite des messes, sont dites pour les défunts.
Les premiers textes qui parlent d'un office spécifique pour les morts datent du IXème siècle.
Le diacre Amalaire qui par la suite devient Abbé de Metz le mentionne dans le « De Ecclésiasticis Officiis » écrit vers l’an 820.
En 998 Odilon, Abbé de Cluny en Saône et Loire institue, le 2 novembre, une journée consacrée à la commémoration de tous les fidèles trépassés.
Le Pape Léon IX, pape de 1049 à 1054, approuvera cette décision.
La commémoration des fidèles défunts se répand alors dans toute la chrétienté. Au XIIIème siècle elle entre dans la liturgie romaine et devient une fête universelle dans l'Église.
Des prières spécifiques à ce jour permettent de gagner des indulgences plénières destinées aux âmes du purgatoire.
Si elle commémore les défunts, cette célébration, est aussi, en un sens, la fête des vivants. L'Eglise catholique professe la foi en l'immortalité de l'âme. La prière pour ceux qui nous ont quittés est ainsi marquée du sceau de l'espérance.
« Ceux qui sont passés sur l'autre rive sont aussi, et davantage, vivants que nous. »
Ce jour à quand même un avantage pour ceux qui comme moi aime entendre du beau, car c’est un des seuls jours ou l’on peut entendre de magnifiques chants grégoriens, ou des requiems.
Après avoir célébré la fête de tous ceux que l’on croit être au ciel, l’Église sur la terre commémore le lendemain tous les fidèles décédés, les chrétiens baptisés que l’on croit être au purgatoire parce qu’ils sont morts avec des péchés véniels sur la conscience et les âmes qui, croit-on, souffrent dans ce purgatoire.
Maintenant, toutes les âmes des morts avaient leur propre jour d’adoration — les saints, les martyrs et même les fidèles ordinaires qui ne méritaient pas encore le titre de saints ou martyrs.
Avant de me séparer de vous par l’écriture mais, ayant toujours une pensée pour vous devant ce Dieu seul et unique, que je nomme EL-SHADDAÏ, je reviens sur le Disciple helléniste Étienne.
En effet ce fut le premier humain qui une fois mort par lapidation par ses semblables porta le nom de « Saint ».
D'après un passage de l'épître aux Romains, les épîtres auraient été dictées à un secrétaire. On sait en effet que l'écriture n'était pas chose aisée et que les écrits étaient dictés à un ou plusieurs scribes.
Épitre aux Romains XVI : 22
« Je vous salue dans le Seigneur, moi Tertius, qui ai écrit cette lettre. »
L’Épitre aux Hébreux là, je peux certifier que cette terminaison de Lettre n’est pas de Paul, car aujourd’hui il est prouvé que Paul n’a jamais rédigé cette Épitre, donc « et tous les saints » est un ajout de copiste un peu zélé ! Surtout qu’aujourd’hui les exégètes sont affirmatifs sur la non écriture de cette Épitre par Paul, car elle fut rédigée à des nazôréens (chrétiens) d’origine juive et sans doute palestinienne postérieur à la mort de Jacques en l’an 62, mais antérieur à la chute de Jérusalem en l’an 70. Ces derniers pensent plutôt pour Apollos, comme le suggère l’Évangéliste Luc dans les Actes des Apôtres XVIII : 24-28
« Un Juif nommé Apollos, originaire d'Alexandrie, était arrivé à Éphèse. C'était un homme éloquent, versé dans les Écritures.
Il avait été instruit de la Voie du Seigneur, et, dans la ferveur de son âme, il prêchait et enseignait avec exactitude ce qui concerne Jésus, bien qu'il connût seulement le baptême de Jean.
Il se mit donc à parler avec assurance dans la synagogue. Priscille et Aquilas, qui l'avaient entendu, le prirent avec eux et lui exposèrent plus exactement la Voie.
Comme il voulait partir pour l'Achaïe, les frères l'y encouragèrent et écrivirent aux disciples de lui faire bon accueil. Arrivé là, il fut, par l'effet de la grâce, d'un grand secours aux croyants : car il réfutait vigoureusement les Juifs en public, démontrant par les Écritures que Jésus est le Messie. »
Par contre le terme « Salez-vous tous d’un affectueux baiser » doit être une coutume de l’époque dans tous le Moyen-Orient et le Bassin Méditerranéen puisque le premier Épitre de Pierre se termine ainsi. Mais par contre « Saluez-vous tous d’un saint baiser » comme écrit dans les Lettres ci-dessus sont pour moi mal orthographiées, en effet comme souvent je vous l’écris le mot « saint » consigné ainsi notifie une adoration, glorification, vénération, et veuillez me pardonner mais je vois très mal glorifier ou adorer un baiser, mais si le mot était rédigé ainsi, « sain », là, la signification est tout autre puisque cela notifie une propreté, sans tache, limpide.
Pouvons-nous confondre les deux mots à la traduction grecque ? Impossible en voilà une preuve le mot « Saint » en grec se traduit comme cela « άycoς », et le mot « sain » se traduit comme ceci « uyiής ». Comme vous venez de le lire, je réitère, impossible de confondre les deux mots.
Paul a-t-il fait entrer « le loup dans la bergerie » ? Je ne pense pas !
Alors nous savons que tous les « Écrits » du Nouveau Testament ont été remanié avec des ajouts, des retranchements, des tournures de phrases, alors se mot « saint » n’a-t-il pas été changé contre le mot « sain » ?
Je pense pour l’affirmation, car « saint » écrit ainsi permet de dire que les tous premiers (chrétiens) s’adoraient mutuellement et qu’à leur mort ils étaient déclarés « saints » par leurs semblables et que les vivants leur louaient un culte en se faisant appuyer par des écrits bibliques.
Où se trouve la vérité dans toutes ces Lettres ?
Même si je n’apprécie pas Paul à cause qu’il se déclare Apôtre de Jésus, alors que je le considère comme un grand Disciple de Jésus le Nazaréen, et que dans certaines de ces Épitres il est plutôt orgueilleux et autoritaire, je le vois mal considéré ses semblables comme « saints », mais plus sûrement comme « sains », et écris comme cela il est plus difficile de faire de la dévotion, car là on pense à la propreté, la transparence comme du cristal, la netteté, loyauté, candeur.
Comme exemple je prends un texte biblique écrit ci-dessus et pas le plus simple
Aux Corinthiens, Première Lettre XVI : 15-16, 20
« Encore une recommandation, frères. Vous savez que Stéphanas et les siens sont les prémices de l'Achaïe, et qu'ils se sont rangés d'eux-mêmes au service des saints.
A votre tour, rangez-vous sous de tels hommes, et sous quiconque travaille et peine avec eux.
Tous les frères vous saluent. Saluez-vous les uns les autres par un saint baiser. »
Prenons « qu'ils se sont rangés d'eux-mêmes au service des saints. » le mot « saints » écrit ainsi obligatoirement vous entraine vers la dévotion, vers l’idolâtrie car « saint » ainsi est la sanctification, l’adoration, mais « sains » rédigé comme ceci désigne la propreté, pureté, limpidité, donc Stéphanas et les siens ce mettent au service d’humains qui sont intègres et qui sont des parangons, des modèles dans la Loi d’EL-SHADDAÏ et les Enseignements de Jésus le Nazaréen, pour leurs semblables.
Vous vous apercevez très vite de la différence, et encore une fois vous ne pouvez me démentir tellement l’exemple est avéré. Et ceci est aussi valable pour le baiser, car un baiser « saint », de sanctification ne veut rien dire, mais un baiser « sain » est un baiser pur, inaltéré, chaste, naturel, simple, quelle dissimilitude avec l’adoration la vénération ?
Une seule lettre en plus dans la Bible, si vous n’y prenez pas garde vous emmène vers l’idolâtrie.
Si EL-SHADDAÏ ne m’avait pas éclairé en « Esprit », c’est-à-dire en pensé, comme vous, jamais je n’aurai fait la différence !
Voilà pourquoi je prie ce Dieu seul et unique, ayant toujours en « Esprit » que c’est son Fils unique Jésus le Nazaréen, mon Roi, non !, notre Roi, qui est le relayeur, le médiateur de mes prières et de vos prières, vers son Père que je nomme EL-SHADDAÏ, mais de cela, vous vous en étiez aperçus.
Voilà j’en ai terminé avec la « Toussaint » en espérant avoir été assez complet pour que vous trouviez le véritable chemin qui mène vers EL-SHADDAÏ. Ce sentier en effet donne un espoir réel à la vie terrestre, car nous passerons aussi à ce « Tribunal Céleste » tout de suite après le « Grand Sommeil », mais nous ferons ce voyage dans l’allégresse car nous savons que nous avons fait l’effort de suivre les Lois de ce « Dieu SHADDAÏ », ainsi que de mettre en pratique les enseignements de son Fils Bien-Aimé, Jésus le Nazaréen.
Alors que risquons-nous ?, puisse-que malgré notre imperfection nous avons notre conscience propre, ainsi que nos actes et pensés, et que le jugement du Divin n’est pas un jugement d’humain, mais un jugement parfait.

Ainsi ce temple qui avait été construit pour toutes les idoles, se trouve aujourd'hui consacré à tous les « Saints ».
Vous venez de finir la lecture de ces faits religieux et historiques. Je le fais pour vous mes semblables afin que par vous-mêmes vous trouvâtes ce magnifique « Sentier » qui amène EL-SHADDAÏ dans votre esprit et votre cœur.
Portez-vous bien en prenant soins de votre maisonnée !
Salutations cordiales à « Tous » !
Sig : JP.G. dit « GRANDELOUPO ».